On peut se demander si on connait vraiment ce que c’est la vie, la mort et l’amour. Ces trois mots, on les répète tellement souvent, qu’ils perdent leur sens, leur force. A quoi ça sert ? Parler des choses qu’on comprend pas. Dès la naissance on cherche à comprendre, on lit des tonnes de livres, on écoute des anciens, on fouille la Terre, le ciel, les étoiles... On croit, un beau jour, qu’on sait... mais il n’en est rien. On passe à côté de la vérité, on ne la voit pas, on ne l’entend pas... Mais on est si sûr de soi.
Nos enfants, des tabulas-rasa, on leur enseigne notre vision des choses, car on est devenu sage au fil des ans. Et on les trompe, les égare dans tout ce qu’on sait. On est tellement sûr de soi...
Et eux, ils répètent notre chemain, notre vie. Heureux, celui, qui a fait un pas à côté... et malheureux aussi. Il y a seulement quelques exceptions, mais ils sont seuls et plus faibles, on les tue vite ou ils s’en chargent eux-mêmes.
La vérité, la vie, la mort et l’amour sont toujours là, tout près, aussi inaccessibles, introuvés.
On n’est jamais tout à fait seul : par malheur, on est toujours avec soi-même.
Il m’a toujours semblé que la musique ne devait être que du silence, et le mystère du silence, qui chercherait à s’exprimer. ... la musique ne devrait être que le trop-plein d’un grand silence.
Les gens qui vont au théâtre cherchent à s’oublier eux-mêmes ; ceux qui vont au concert cherchent plutôt à se retrouver. Entre la dispertion du jour et la dissolution du sommeil, ils se retrempent dans ce qu’ils sont.
J’eus, ce jour-là, par tout mon corps étonné de revivre, ma seconde révélation de la beauté du monde. Comme à la première, je pleurai, non pas tant de bonheur, ni de reconnaissance ; je pleurai à l’idée que la vie fût si simple, et serait si facile si nous étions nous-mêmes assez simples pour l’accepter.
Il n’est pas difficile de nourir des pensées admirables lorsque les étoiles sont présentes. Il est plus difficile de les garder intactes dans la petitesse des journées ; il est plus difficile d’être devant les autres ce que nous sommes devant Dieu.
Les gens que l’on rencontre dans les rues, pendant le jour, donnent l’impression d’aller vers un but précis, que l’on suppose raisonnable, mais, la nuit, ils paraissent marcher dans leurs rêves.
La vie est le mystère de chaque être : elle est si admirable qu’on peut toujours l’aimer. La passion a besoin de cris, l’amour lui-même se complaît dans les mots, mais la sympathie peut être silencieuse... Je l’ai connue en silence, puisque ceux qui l’inspirent ne la comprendraient pas ; il n’est pas nécessaire que quelqu’un la comprenne.
Il vaut peut être mieux ne pas s’apercevoir des larmes, lorsqu’on ne peut les consoler.
On dit que la musique est l’univers de l’âme ; cela se peut, mon amie : cela prouve simplement que l’âme et la chair ne sont pas séparables, et que l’une contient l’autre, comme le clavier contient les sons. Le silence qui succède aux accords n’a rien des silences ordinaires : c’est un silence attentif : c’est un silence vivant. Bien des choses insoupçonnées se murmurent en nous à la faveur de ce silence, et nous ne savons jamais ce que va nous dire une musique qui finit.
Un tableau, une statue, voire même un poème, nous présentent des idées précises, qui d’ordinaire ne nous mènent pas plus loin, mais la musique nous parle de possibilités sans bornes.
Un bouquet de fleurs sur une tombe. Il nous raconte une histoire, toute une vie. Il ne faut qu’écouter, qu’entendre le murmure doux de ces amis timides qui veillent sur nos morts.
Il faut prendre du temps. Un peu de patience et... voilà... l’histoire qui commence. Il était une fois un être humain, peut être une femme, peut être un homme, peu importe. L’essentiel est qu’il vivait, aimait, était aimé ou haïs. Il a eu beaucoup de choses dans sa vie, des événements, de gens. Et aussi des fleurs...
Les fleurs, ils étaient toujours tout autour de lui. Les fleurs, que son père avait offert à sa mère ; les fleurs de premier de premier amour ; les fleurs de succès, les fleurs d’espoir...
Et maintenant, les fleurs du deuil sont toujours là.
Regardez cet arbre. Le jeu de la lumière et des ombres. Ses mouvements, sa vie. Chaque branche, chaque feuille qui bouge, danse, valse... Qui exprime sa joie de vivre. Regardez, comment cet arbre tend ses bras vers le soleil couchant. Comment le vent joue au cache-cache dans sa couronne. Regardez le ciel qui est si haut, si bleu, si claire. Ce bleu qui souligne le vert majestueux, le met en valeur. Sentez cet aromat, le goût de la vie, de force, d’immortalité presque...
Cet arbre qui a vécu tant... et qui vivra encore quand vous allez partir. Et qui restera gravé dans votre coeur pour toujours. Peut être. Et il est possible qu’un jour cet arbre vous sauvera la vie. Peut être.
Pensez-y. Rappelez-vous ce moment de liberté, de vie, de rêve... Et puis, essayez d’être comme cet arbre. Beau et plein de vie, fier d’être et libre. Ne demandant rien à personne, mais donnant tout à tous.
Et si un jour quelqu’un se souviendra de vous, comme ça, par pur hasard... et dira qu’il a passé un bon moment avec vous, vous pouvez me croire que vous serez recompensé et soulagé.
Réussir àdevenir un arbre, c’est parfois réussir à vivre. A devenir un homme aussi.
Je vous le souhaite de tout mon coeur.
Votre Marie.
Imaginez le ciel, le plus bleu que jamais. Imaginez le soleil, le plus brillant et fort. Imaginez l’océan, le plus profond et pur. Imaginez un île, une terre, le sable, l’herbe, une maison, un chemain... Vous et quelqu’un, le plus cher au monde. Tout près, là, il suffit de tendre la main pour le toucher, ce quelqu’un que vous aimez. Vous l’aimez si fort, que vous ne pouvez plus respirer, ni bouger, ni prononcer l’essentiel : « Je t’aime ».
Que se passera-t-il ? Qui fera le premier pas, la premier geste dans ce monde intacte de rêve ? Qu’est-ce que vous ressentez ? L’amour, l’espoir, la sûreté, la peur, l’angoisse ?
Cet émotion, ce moment, ce rêve décident tout. Toute votre vie est dans cette seconde. Pas de passé, ni de future. Juste le présent, juste pas de temps, ni d’espace. Seconde. Un clin d’oeil. Presque rien... et tout... Juste vous, quelqu’un, maison, île, ciel, monde, rêve, vie...
Le coeur qui s’arrète, prêt à exploser.
Il était une fois...
Une fille aussi jolie que toi.
Elle aimait de belles fleurs
On dirait – ta petite soeur.
Elle est allée se promener
Chez sa grand-mère à travers la foret,
Et elle a rencontré un vieux loup
Qui était prêt à tout,
Pour manger enfin
Parce qu’il avait très faim.
Je ne veux pas te raconter tout
Il était bien méchant, ce loup.
Je vais fouiller dans ma mémoire
Pour retrouver une autre jolie histoire.
Il était une fois...
***
J’ai le mal de Paris
De ses rues, de ses boulevards ;
De son air triste et gris,
De ses jours, de ses soirs ;
Et l’odeur du métro
Me revient aussitôt.
Que je quitte mon Paris
Pour des pays moins gris.
J’ai le mal de la Seine
Qui écoute mes peines
Et je regrette tant
Les quais doux aux amants.
J’ai le mal de Paris,
Quand je suis loin d’ici.
J’ai le mal de Paris
Durant les jours d’hiver
C’est gris et c’est désert
Plein de mélancolie ;
Oui, j’ai le mal d’amour
Et je l’aurai toujours.
C’est drôle, mais c’est ainsi :
J’ai le mal de Paris.
Любая Вера – это слепота,
Любая Вера – это плод безумства!
Любая мера – это лишь черта.
Хвала или хула – все безрассудство!
Коль оценен – то ограничен ты!
Признание – все то же униженье!
Лишь только Время – бремя пустоты,
Не отличай побед от поражений!
Забудь, кем был,
Не знай, кем стал, кем есть,
Будь сам собой,
А кем – то знать не волен!
И не храни ни совесть и ни честь –
Отдай себя, всего, совсем, до боли!
Когда ты в полуночной тишине
Услышишь Голос в лунном одеянии,
В очарованьи вечного сияния
Войдешь в свой мир, заманчивый во сне.
И недоступное вдруг близко и тепло,
И долгожданное столько ощутимо рядом,
Что не постичь ни разумом, ни взглядом,
Не осознать, что все это в былом.
Жизнь каждого – один огромный круг,
Бег по нему – все время лишь к началу!
И день за днем вращает Изначалами
И совращает Святость на миру!
Не каждому идти твоим путем,
Не каждому нести Добро и Веру…
Прохладу в зной Благодарение мерит
И деяние вечное твое!
…. И когда придется начать с начала,
возвращайся опять сюда.
Отдохни и снова
Ищи свой путь,
Он уведет тебя к дорогам другим,
И начало трудно будет припомнить,
Снова заблудишься и опять
Придется начать с начала, и снова
Приедешь сюда.
Места эти будут другими,
Но ты их узнаешь.
Нашла старые записи... решила переписать в дневник, чтобы не потерять с переездом) Жаль только авторов я раньше не писала...
Если ты не можешь быть сосной на вершине холма,
Будь деревцем в долине, но только будь
Самым лучшим деревцем у родника;
Будь кустиком, если ты не можешь быть деревом.
Если ты не можешь быть кустиком, будь травой
И сделай дорогу счастливее;
Если ты не можешь быть щукой, будь просто окунем –
Но будь самым красивым окунем в озере!
Мы не можем все быть капитанами –
Кто-то должен быть и матросом;
Для всех нас найдется здесь работа.
Не привыкайте никогда к любви!
Не соглашайтесь, как бы ни устали,
Чтоб замолчали ваши соловьи
И чтоб цветы прекрасные увяли.
И, главное, не верьте никогда,
Что будто всё проходит и уходит.
Да, звёзды меркнут, но одна звезда
По имени Любовь всегда-всегда
Обязана гореть на небосводе!
Не привыкайте никогда к любви,
Разменивая счастье на привычки,
Словно костёр на крохотные спички,
Не мелочись, а яростно живи!
Не привыкайте никогда к губам,
Что будто бы вам издавна знакомы,
Как не привыкнешь к солнцу и ветрам
Иль ливню средь грохочущего грома!
Да, в мелких чувствах можно вновь и вновь
Встречать, терять и снова возвращаться,
Но если вдруг вам выпала любовь,
Привыкнуть к ней - как обесцветить кровь
Иль до копейки разом проиграться!
Не привыкайте к счастью никогда!
Напротив, светлым озарясь гореньем,
Смотрите на любовь свою всегда
С живым и постоянным удивленьем.
Алмаз не подчиняется годам
И никогда не обратится в малость.
Дивитесь же всегда тому, что вам
Заслужено иль нет - судить не нам,
Но счастье в мире всё-таки досталось!
И, чтоб любви не таяла звезда,
Исполнитесь возвышенным искусством:
Не позволяйте выдыхаться чувствам,
Не привыкайте к счастью никогда.
мдя... что-то я слишком много тестов прохожу... самое смешное... ответы обычно зависят от настроения, поэтому и результаты не объективны)
может найти что-нибудь по интересней? хотя... чем-то серьезным не займешься... все равно скоро уезжать... и опять без интернета буду наверно полгода сидеть... хотя... кто знает?)
может и смогу осесть наконец... было бы здорово)
У тебя все зависит от настроения и от того, сколько подвигов ты сегодня совершила. Настроение отличное, куча подвигов и крылья за спиной - ты разве что не влюблена в себя, у тебя все получается и никакие преграды тебе не страшны. Но если настроение - не очень, да и подвиги вдруг не удаются - не успела по работе, опоздала на тренировку, сломала каблук - крылья отваливаются. Тебе стоит взять на вооружение экспресс-метод починки крыльев: фрукты в больших количествах и зажигательная аэробика под латино. Метод, между прочим, безотказный!
Твой баланс восприятия плохого и хорошего - сама гармония. Ты не застреваешь в романтических мечтах и иллюзиях, но и не ударяешься в скепсис и мизантропию. Ты воспринимаешь жизнь такой, какая она есть, не присваивая ей ни ярко-белого ни зловеще-черного цветов. Так держать!
Тебе важно быть объектом его восхищения, равно как и самой восхищаться им. Ведь твой мужчина важен тебе прежде всего как личность. Ты во многом ориентируешься именно на его знания и жизненный опыт, даже если он не старше тебя. Ведь он заслуживает такого доверия. Такое отношение прибавляет сил любому мужчине, так что твоему избраннику наверняка завидуют все друзья!
Ты руководствуешься логикой и здравым смыслом. И никто не сможет сбить тебя с пути истинного (то есть с того, который ты сама определяешь). Тебе легче других дается жизнь - ведь благодаря твоей способности трезво оценивать ситуацию, ты гораздо реже попадаешь в неприятные ситуации, а рассудительность не позволяет тебе наступать на грабли, встречающиеся так некстати. Так держать! Хотя... иногда, для полноты жизни, не забывай и прислушаться к голосу другой своей половины.
Разбиваться в лепешку ради непонятных целей - это не твое. Ты знаешь, чего ты хочешь, и пробираешься к своей цели медленно но верно. Зачем тебе подвергать себя лишней опасности, если ты и так знаешь, что добьешься своего? К тому же, для окружающих ты выглядишь настолько безобидно, что даже твои конкуренты будут тебе скорее помогать, чем мешать, ведь о том, чего ты стоишь на самом деле, знают только самые близкие. И еще твой тренер!
"Мужская логика" - самая загадочная логика на свете. Несмотря на то, что мужчины-то загадочной считают женскую логику, психологами доказано, что подобное определение свойственно именно мужскому типу мышления. Ты довольно быстро принимаешь решения и делаешь выводы, и при этом действуешь всегда уверенно. Твой победный настрой и быстрота реакций помогает тебе в решении многих задач, главное - не отвыкнуть думать медленно, это бывает не менее полезно. И не менять принятых решений со скоростью света: в спортзал - значит, в спортзал, и никаких вечеринок по пути!