Как только попала в замечательный мир вязаной игрушки на форуме Сатилина, сразу захотелось связать такого чудесного Котика Итиро и сразу подарить его своей любименькой подруженьке
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Нашла не так давно самые первые игрухи, связанные лет так 5 назад ))) Это, конечно, не все игрушечки.... их было намного-намного больше, но они не успели запечатлиться на долгую, добрую память...
Не судите строго
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Pas sans toi
Sèche tes pleurs, je ne partirais pas
Il m'en faudrait bien plus que ça
Pour tout détruire, anéantir à ça
Sèche tes pleurs et refais moi l'amour
Te souviens tu de cet enfant
Que tu voulais m'faire en chantant
Je t'aime encore si fort, non pas sans toi
Je ne la vivrais pas cette vie là
Si tu me reprenais dans tes bras
On pourrai reconstruire tout ça, non, non, non, non
Pas sans toi
Ce serai comme renier ma vie
Ce serais comme étouffer un cri
Si j'ai tort éloigne toi, si tu m'aimes attends moi
Sèche tes pleurs, le temps nous attendra,
Nous nous sommes perdus dans tout ça
Il n'y a plus de raison d'avoir peur, je crois
Sèche tes pleurs on est tellement plus fort
Que toutes ces heures
Tous ces remords vont s'oublier,
On avait tort
Je t'aime encore si fort, non pas sans toi
Je ne la vivrais pas cette vie là
Si tu me reprenais dans tes bras
On pourrai reconstruire tout ça, non, non, non, non
Pas sans toi
Ce serai comme renier ma vie, ma vie
Ce serais comme étouffer un cri
Si j'ai tort éloigne toi, si tu m'aimes attends moi
Sèche tes pleurs,
refais moi ce sourire, celui qui ne me fais pas vieillir
Ni mon âme ni mon cœur
Je t'aime encore si fort
Je me souviens
Des fleurs de lys blanches sous un ciel bleu de cristal
Des balades sous une neige en forme d'étoile
Des érables aux couleurs d'une passion fatale
Je n'oublie rien de rien,
Je me souviens
Les odeurs d'une forêt qu'un beau lac dévoile
Les reflets d'un grand feu sur nos visages pâles
Une lumière intense par des nuits boréales
Je n'oublie rien de rien,
Je me souviens
J'aime tes poèmes, ton coeur, ta liberté
Tu es la seule terre où
Mon âme s'est posée
Un accent dont personne ne connaît les secrets
Un français qui s'élance dans des mots oubliés
Une manière inimitable de chanter
Je n'oublie rien de rien,
Je me souviens
J'aime tes blasphèmes, ta foi, ta dignité
Tu es comme une île
Que l'on ne peut pas quitter
J'aime tes poèmes, ton coeur, ta liberté
Tu es comme une île
Que l'on ne veut pas quitter
Des paysages qui mélangent au plus que parfait
Des dessins que la nature ne refait jamais
L'impression d'être entrée au jardin de la paix
Je n'oublie rien de rien
Et je reviens
Je suis malade
Je ne rêve plus je ne fume plus
Je n'ai même plus d'histoire
Je suis sale sans toi je suis laid sans toi
Je suis comme un orphelin dans un dortoir
Je n'ai plus envie de vivre ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n'ai plus de vie et même mon lit
Se transforme en quai de gare
Quand tu t'en vas
Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade parfaitement malade
T'arrives on ne sait jamais quand
Tu repars on ne sait jamais où
Et ça va faire bientôt deux ans
Que tu t'en fous
Comme à un rocher comme à un péché
Je suis accroché à toi
Je suis fatigué je suis épuisé
De faire semblant d'être heureux quand ils sont là
Je bois toutes les nuits mais tous les whiskies
Pour moi ont le même goût
Et tous les bateaux portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller tu es partout
Je suis malade complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors
Je suis malade parfaitement malade
Tu m'as privé de tous mes chants
Tu m'as vidé de tous mes mots
Pourtant moi j'avais du talent avant ta peau
Cet amour me tue et si ça continue
Je crèverai seul avec moi
Près de ma radio comme un gosse idiot
Écoutant ma propre voix qui chantera
Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade c'est ça je suis malade
Tu m'as privé de tous mes chants
Tu m'as vidé de tous mes mots
Et j'ai le cœur complètement malade
Cerné de barricades t'entends je suis malade
A I M E
C'est un fruit sucré que l'univers
et la terre ensemence
Un cadeau divin qui t'es offert
Si tu crois à cette chance
La vie s'arrange pour nous donner
L'autre moitier d'orange
C'est un voyage au creux de la chair
Ou la guerre n'existe pas
La preuve que chacune de
tes prieres sinceres trouvera
Une reponse malgré l'abscence
Des que l'amour s'avance
Aime,
La vie est tellement belle
Des que tu deviens celle ou celui qui aime
La certitude que l'autre est essentiel
C'est un rendez-vous comme un cadeau du ciel
Aime,
Et fous toi de la haine
Ne
redeviens pas celle ou celui qui peine
La solitude est un chemin cruel
N'oublie jamais que l'amour est eternelle
C'est une caresse et l'on tremble ensemble
On s'y attendait plus
C'est un regard qui nous ressemble au visage
De cet inconnu
Soudain les larmes inondent nos coeurs
On etreint le bonheur
Aime,
La vie est tellement belle
Des que tu deviens celle ou celui qui aime
La certitude que l'autre est essentiel
C'est un rendez-vous comme un cadeau du ciel
Aime,
Et fou toi de la haine
Ne redeviens pas celle ou celui qui peine
La solitude est un chemin cruel
N'oublie jamais que l'amour est eternelle
Je te dis A I M E
Si tu m'aimes
Je le sens
Je le sais
Quand t'as mal à l'autre bout de la terre
Quand tu pleures pendant des heures
Sur mon coeur je pourrais hurler
Le jurer même si je ne vois rien
D'où je suis je sens ton chagrin
Quand je me vois
Sans tes mains
Sans tes bras je ne peux plus respirer
Et j'entends si souvent
Le chant du vent
Qui vient pour me ramener
Vers tes landes sous ton ciel d'Irlande
Quitter ma vie sans préavis
Je le ferais si tu m'aimes
Même si j'ai tort
Tout est plus fort
Que la raison tout est plus fort que ton nom
Que je redis que j'écris sans arrêt
Sur les écrans de ma vie
Et j'espère que chacunes des aurores
Que je vois me mènera à ton corps
Je quitterai tout si tu m'aimes
Je sais que je n'me trompe pas
Que quelque part au loin là-bas
Tu penses encore à moi
Tu m'as gardé dans tes bras
Une place, un ébat
Dis-le moi tout bas que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Je le sens
Tu penses encore à moi
Je le sais, tu m'as gardé tes bras
Dis-le moi
Que tu m'aimes
Encore une fois
J'ai jamais vu d'amour fragile
j'ai toujours donné tout
toute seule au bout de moi
j't'envoie ces quelques mots
Moi je suis celle qui s'est perdue
contre ta peau
quand on s'cachait près des bateaux
pour mettr' nos corps à nu
Un jour y'a comme ça des gnes qui passent
c'est la vie qui grandit
on s'comprend pas toujours soi-même
et un jour
on aime
{Refrain:}
Oh non non non
On s'oublie pas comme ça
Tu n'le sais pas
Mais j'garde en moi des bouts de toi
Non non non
On n'oublie pas tout ça
C'est notre histoire d'amour
J'voudrai la vivre encore une fois
Et face aux vagues de l'océan
tu m'as tendue la main
pour m'emmener doucement
jusqu'au premier matin
J'avançais toujours vers toi
comme une étoile qui danse
et le temps a mis ses ailes
pour me voler mon innocence
Un jour y'a comme ça des gens qui passent
des regards qu'on garde en soi
des rires qu'on oublie pas
parce qu'un jour
on aime
{au Refrain}
Un jour y'a comme ça des gnes qui passent
c'est la vie qui grandit
on s'comprend pas toujours soi-même
et un jour
on aime...
Demande au soleil
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Je traverse des océans de sang
Je croise le fer avec les anges de l'enfer
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel
Tu m'appelles
Attends-moi
Où que tu sois
J'irai te chercher
Et te retrouver
Demande au soleil
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! Si je t'ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh ! Si tu m'as manqué
Demande aux montagnes où j'ai erré
Combien de nuits, combien de jours
Demande aux rivières que j'ai pleurées
Demande au soleil
Le chemin qu'on avait fait ensemble
Je le refais à l'endroit à l'envers
T'avais pas l'droit de t'en aller loin de moi
De me laisser seul dans cet univers
Qu'est-ce que j'ai fait pour qu'on m'enlève
Ma vie, mon amour et mes rêves ?
Je te rejoindrai
Mais dans quelles contrée ?
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! Si je t'ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh ! Si tu m'as manqué
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m'enterrer
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel tu m'appelles
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! si tu m'as manqué
Demande aux montagnes où j'ai erré
Combien de nuits combien de jours
Demande aux rivières que j'ai pleurées
Demande au soleil
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m'enterre
Demande au soleil
Demande au soleil...
Trahison
Quand
Ton meilleur ami te trahit
C'est pire qu'une femme qui te trompe
Pire qu'un père qui te renie
Ou qu'un frère qui t'oublie
Quand
Ton meilleur ami s'enfuit
Emportant avec lui
Une partie de ta vie
Qui n'a pas de prix
Ça te suit comme une obsession
C'est un fléau qui a pour nom ...
Trahison
Elle est là elle attend son heure
La trahison
Pour te frapper en plein coeur
La trahison
Mais attention
Elle vient comme un voleur...
La trahison
Elle est là elle attend son tour
La trahison
Pas de jour, pas de nuit pour
La trahison
Mais malheur
À celui qui laisse
Entrer dans sa maison
La trahison
Rien
Ne te fera pardonner
Au complice de toujours
Qui te ment et se dément
Qui te vole ou qui te vend
Personne
Ne pourra remplacer
Le confident de tous les jours
De tes combats, tes rêves ou tes amours
L'associé de tous les bons coups
Qui te jette et te livre aux loups
Trahison
Elle est là elle attend son heure
La trahison
Pour te frapper en plein coeur
La trahison
Mais attention
Elle vient comme un voleur...
La trahison
Elle est là elle attend son tour
La trahison
Pas de jour, pas de nuit pour
La trahison
Mais malheur
À celui qui laisse
Entrer dans sa maison
La fidèle...
Femme fatale...
Criminelle...
Déloyale...
Trahison
Elle est là elle attend son heure
La trahison
Pour te frapper en plein coeur
La trahison
Mais attention
Elle vient comme un voleur...
La trahison
Elle est là elle attend son tour
La trahison
Pas de jour, pas de nuit pour
La trahison
Mais malheur
Et honte à celui
Qui porte au front
La trahison
La trahison
La trahison
Je suis le même
Je suis le même que t'as connu
celui-là même qui t'a émue
je suis le même que t'as voulu
qui malgré lui t'aura déçue
je suis le même que t'as aimé
rien de meilleur mais rien de pire
et le même coeur quoi que tu puisses en dire
plein de tendresse de maladresse
je suis le même pour toi
je suis le même que t'as connu
qui aujourd'hui avoue se sentir perdu
je suis le même que t'as voulu
l'urgence appelle comme un pauvre gars perdu
je suis le même que t'as aimé
qui te jure qui n'as pas changé
je suis le même que t'as aimé
je suis le même que t'as connu
c'est bien celui en qui t'as cru
je suis le même que t'as voulu
tu es pour lui le seul salut
je suis le même que t'as aimé
rien de meilleur mais rien de pire
et le même coeur quoi que tu puisses en dire
plein de tendresse de maladresse
je suis le même pour toi
je suis le même que t'as connu
qui aujourd'hui avoue se sentir perdu
je suis le même que t'as voulu
l'urgence appelle comme un pauvre gars perdu
je suis le même que t'as aimé
qui te jure qu'il n'a pas changé
je suis le même que t'as aimé
je suis le même que t'as connu
qui aujourd'hui avoue se sentir perdu
je suis le même que t'as voulu
qui avait mis et dépose son arme a nu
je suis le même qui te jure qu'il n'a pas changé
je suis le même que t'as
je suis le même que t'as
je suis le même que t'as aimé
Je n'attendais Que Vous
On garde un soleil
Au fond de nous
Un feu qu'on réveille
Malgré tout
Malgré les douleurs d'hier
Tout à coup on espère
Au hasard d'un jour
Pareil aux autres
On se sent moins lourd
La vie nous porte
Pour un regard de lumière
Un seul aveu à faire
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
On garde un peu d'or
Au fond de l'âme
Mais le temps dévore
Éteint la flamme
Jusqu'à ce jour de hasard
Et soudain on repart
On remplit nos yeux
D'autres couleurs
Est-ce qu'on y voit mieux ?
Est-ce qu'on est meilleur ?
Quand tout redevient si clair
Un seul aveu à faire
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde est trop grand
Trop long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
Vous, vous
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
Je n'attendais que vous
Je n'attendais que vous
Au fond de nous
Malgré tout
Malgré les douleurs
Je n'attendais que vous
Je viens de loin
Je n'espérais,
N'espérais que vous
Je n'attendais que vous
Je n'attendais que vous
L'adieu
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
Est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L'adieu
N'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L'adieu
C'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m'embrasse
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh l'adieu !
L'adieu
C'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
C'est le loup blanc dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh l'adieu !
Oh l'adieu !