http://lesapn.forumactif.fr/CARNET-DU-JOUR-c6/Carn.../Joyeux-anniversaire-t3031.htm

http://www.boufler.be/photos/Reportages/histo.html

" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

"que dieu te donne en double ce que tu me souhaite"

Ah Thonon ! Le château de Sonnaz, le château de Ripaille, le Funiculaire, La Pinte de la Grand' Rue et sa célèbre Ecole-Hôtel....
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http://lesapn.forumactif.fr/

Весёлый час

(Стихи в оригинале найдены во Франции
на стенах одной государственной темницы.)

Зачем вы на меня,
Любезные друзья,
В решетку так глядите?
Не плачьте, не грустите!
Пускай умру сейчас,
Коль я в углу темницы
Смочил один хоть раз
Слезой мои ресницы!...
Ликуйте вы одне
И чаши осушайте,
Любви в разумном сне
Как прежде утопайте;
Но в пламенном вине
Меня воспоминайте!..

Я также в вашу честь,
Кляня любовь былую,
Хлеб чёрствый стану есть
И воду пить гнилую!...
Пред мной отличный стол.
И шаткий [и] старинный;
И музыкой ослиной
Скрыпит повсюду пол.
В окошко свет чуть льется;
Я на стене кругом
Пишу стихи углём,
Браню кого придется,
Хвалю кого хочу,
Нередко хохочу,
Что так мне удается!

Иль если крыса, в ночь,
Колпак на мне сгрызает,
Я не гоняю прочь:
Меня увеселяет
Ее бесплодный труд.
Я повернусь - и тут!....
Послыша глас тревоги -
Она - давай бог ноги!...

Я сторожа дверей
Всегда увеселяю,
Смешу - и тем сытей
Всегда почти бываю.
..............
..............
Тогда я припеваю
..............
..............
"Тот счастлив, в ком ни раз
"Веселья дух не гас.
"Хоть он всю жизнь страдает,
"Но горесть забывает
"В один веселый час!..."

http://lermontov.niv.ru/lermontov/stihi/1829.htm#n4


" Grace aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)
[340x243]

Le bouzouk qui degaine plus vite que ca trompe.





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Le dernier ouroque avec le QI d'un poulpe mort, la reflexion d'une huitre pas fraiche et la reactivitee d'un biscuit.

C est pas juste pour remonter le topic !!

désoler pour toit caesar !!

J embauche plus !!



puis je fais comme je veux !!

Bonsoir,

Trouvé sur internet:

"Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mot n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot."

C'set Jkeor qui ne va pas s'en rmterte

Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)


et qui paye leurs allocations chomage pendant ce temps là ?...

c'est bibi !!

mais ça, c'est un autre débat. fin de citation

Bonjour.

Exact J'connais un Polytechnicien (à sa mémère ... j'peux pas résister, désolé ) qui fait quatre fautes en deux phrases. Mais là, chez ces gens-là comme disait Brel, c'est parceque le cerveau va plus vite que la main .......... Et mon c.l, c'est du poulet


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Le grand art d'écrire, c'est de supprimer ce qui est inutile (

Le problème, c'est qu'il y a des employeurs pas plus doués qu'eux en aurtogaffe
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Posté le: Lun 25 Juin 2007 : 21:25 Sujet du message:

Merci la Grogne pour toutes ces précisions qui s'avèrent exactes.
A bientot sur le forum
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"que dieu te donne en double ce que tu me souhaite"

Tiens, revoilou notre Parmentiou !

De retour chez les fous, vieux frère ? Voilà bien longtemps qu'on ne t'avait lu...

Allez, à bientôt !

Et pourquoi l'ami Route nous parle-t-il de sa belle-mère ???

Amitiés.

LB

http://vdaucourt.free.fr/Mothisto/Napoleon4/Napoleon4.htm



Auteur : Napolйon (15 aoыt 1769 - 5 mai 1821)


Date : 28 janvier 1809, dans le cabinet de travail du chateau de Saint-Cloud


Contexte historique :

Ces mots ont йtй adressйs par Napolйon а son grand chambellan Talleyrand qu'il soupзonnait de trahison.

Nan mais c'est quoi ça, un employé qui fixe son salaire!!!
On auras tout vu ici, et on dirais bien que des patrons se laisse faire par ça (en effet si il le fait avec moi il le fait avec d'autres)

Alors ce topic pour dire aux patrons d'arréter de se laisser faire!!!

(moi perso je lui ai dit que j'aimait pas les mendiants)

" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Increvable ...

Enregistrй le 06/07/2007
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Ajoutй le : 10/07/2007 16:26
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Message :

nan il remplit les poches


Bin justement, il a raison, ça nuit à la santé du peuple Bouzouk ...


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Increvable
Touche aux Grazouks, et ramasse t'es molaires

Jolica étant partie en pélerinage,ect ..... elle demande un poste de nettoyeuse de cuvettes, si c'est possible ..... svp



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Hihihii
MPAListe,infirmière de charme à la MDB, boulet en or

Au cours de mes recherches, je suis tombé dans un livre sur le passage qui suit :

« Le maréchal Gouvion Saint-Cyr mettait à cette époque la dernière main à ses mémoires [qui paraîtront en 1831].

Le jour de sa mort, il se promenait encore dans son salon ; il parlait de Napoléon, il citait un de ses entretiens familiers avec lui. « Ah ! L’Empereur ! disait-il avec émotion, L’Empereur !... L’Empereur !... »

A mesure qu’il répéta ce mot, sa prononciation s’embarrassa davantage. M. Fayel, son secrétaire, le regarda, déjà les traits du maréchal se décomposaient. Toutefois le maréchal conserva encore un moment sa présence d’esprit, mais ses forces s’épuisèrent sensiblement. Depuis cet instant fatal chaque fois qu’il n’eut pas à répondre aux questions de ceux qui l’entouraient, il sembla se recueillir, vouloir achever sa narration. Le nom de l’Empereur s’échappa encore de ses lèvres, mais la paralysie suspend ses facultés intellectuelles au moment où un doux souvenir occupait son esprit ; La dernière heure de cet homme illustre vient de sonner… Le nom de son général, de son ami, monte avec sa belle âme vers l’éternité… »

(Colonel Jules Marnier, « Souvenirs de guerre en temps de paix, 1793-1806-1823-1868 », Paris, Ch. Tanera, 1868, pp.274-275).

Pour compléter ce témoignage, je citerai un passage tiré du « Dictionnaire des maréchaux de Napoléon », de Jean-Claude Banc (Pygmalion, 2007, p. 118) :

« Au cours de l’hiver 1829, Gouvion Saint-Cyr se trouve à Hyères quand, le 12 mars 1830, il subit une attaque d’apoplexie. Cinq jours plus tard, il s’éteint âgé de soixante-six ans. Ses obsèques nationales sont célébrées en l'hôtel royal des Invalides le 6 avril [1830] ».
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Sic gloria transit mundi...





L'exil [modifier]
À partir de l'exil commence une période de création littéraire qui se caractérise par sa richesse, son originalité et par sa puissance. C'est alors que naîtront certains des plus fameux poèmes de la langue française (l'Expiation dans les Châtiments, Booz endormi dans la Légende des siècles, pour ne citer que ces deux exemples).


Victor Hugo à JerseyLes Châtiments sont des vers de combat qui ont pour mission, en 1853, de rendre public le "crime" du « misérable » Napoléon III : le coup d'État du 2 décembre. Prophète des malheurs qui attendent Napoléon III, exécuteur du neveu honni, Hugo s’y fait cruel, satirique, voire grossier pour châtier "le criminel". Mais Hugo se fait aussi poète de temps meilleurs comme par exemple dans Stella ; le poète prend alors des tons quasiment religieux. Quant à la "forme" des Châtiments, elle est d'une extrême richesse puisque Hugo recourt aussi bien à la fable, qu'à l'épopée, à la chanson ou à l'élégie, etc.

http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=9335

L'histoire :


La note de CineMovies :



Le commandant Joss Beaumont est envoyé au Malagawi, une république africaine, avec pour mission de supprimer le président N'Jala. Mais la situation politique ayant évolué entre-temps, le gouvernement français se trouve alors dans l'obligation de «désamorcer» Beaumont. Pour ce faire, le Quai d'Orsay le dénonce à la police du Malagawi. Arrêté et jugé, il est envoyé au bagne, où il passe deux ans avant de parvenir à s'évader. De retour à Paris, Joss est bien décidé à faire payer très cher leur trahison à ses supérieurs. Par télégramme codé, il informe le colonel Martin que la mission qui lui a été confiée sera exécutée pendant la visite à Paris du président N'Jala, désormais ami de la France...

Le commandant Joss Beaumont est envoyé au Malagawi, une république africaine, avec pour mission de supprimer le président N'Jala. Mais la situation politique ayant évolué entre-temps, le gouvernement français se trouve alors dans l'obligation de «désamorcer» Beaumont. Pour ce faire, le Quai d'Orsay le dénonce à la police du Malagawi. Arrêté et jugé, il est envoyé au bagne, où il passe deux ans avant de parvenir à s'évader. De retour à Paris, Joss est bien décidé à faire payer très cher leur trahison à ses supérieurs. Par télégramme codé, il informe le colonel Martin que la mission qui lui a été confiée sera exécutée pendant la visite à Paris du président N'Jala, désormais ami de la France...

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