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K-maro Quand le rap fait de la place à l'électro 03-05-2010 01:16 ê êîììåíòàðèÿì - ê ïîëíîé âåðñèè - ïîíðàâèëîñü!


«Je reviens baffer les ondes et les pistes, c’est clair… Toucher les cimes, bafouer les règles.»

Les paroles de l’accrocheuse pièce Music révèlent K.Maro fidèle à lui-même, sans pour autant avoir mis un frein à l’évolution.

Deux ans après le succès de Perfect Stranger, l’artiste est de retour avec 01.10, album aux sonorités électroniques lancé ces derniers jours.

«J’ai pris un peu de temps pour tout revoir, dit-il pour justifier ces deux ans d’absence sur disque. Nous avons eu deux années de crise. J’étais éparpillé. Je me suis donc débarrassé de certaines activités qui me prenaient beaucoup de temps, comme la restauration, les clubs, tout ce qui touchait davantage au nightlife. C’étaient mes passe-temps, mais également des sources de distraction.»

De son propre aveu, cette période lui a également permis de laisser retomber la poussière. «C’était devenu très tumultueux. Il y a eu un gros buzz, qui a duré cinq ans, à travers le monde. J’avais besoin de me retrouver et de prendre un peu de recul face à tout ça.»

Ce recul s’est avéré plutôt bénéfique pour l’inspiration. «Ça a été un défi, parce que cet album est différent de tout ce que j’ai pu faire avant. C’est plus électronique et je chante un peu plus que je rappe. C’est dans l’air du temps: David Guetta, Kanye West et les Black Eyed Peas. Nous sommes dans ce délire-là et, du coup, ça m’a vachement inspiré à écrire, composer et me remettre dans le bain.»

Précurseur de l’urban pop, K.Maro – Cyril Kamar de son vrai nom – s’est d’ailleurs constamment acharné à repousser les frontières du hip-hop, quitte à s’attirer la foudre des puristes:

«C’est ce qui a fait mon nom. Chaque fois qu’il y a eu des limites, je suis passé à travers. Je n’ai pas violé de code quelconque. Nous sommes tous des musiciens et chacun a ses goûts musicaux. Moi, j’ai envie de faire de la musique urbaine qui s’inspire de toutes sortes d’influences: pop, rock, dance, électro.»

Sa boîte de production, K.Pone, est bien établie à Montréal, et il travaille présentement à l’ouverture de bureaux à Paris et New York. C’est sans compter sa ligne de vêtements streetwear chic, Balbec, dans laquelle il s’implique à tous les niveaux.

Pourtant, l’homme aux mille et un talents parvient à gérer habilement les carrières de producteur et d’artiste.

«J’ai l’impression que l’une ne va pas sans l’autre. J’ai besoin d’avoir mes moments en studio, avec mon équipe, à ne faire que de la musique pendant des heures et des heures. Je suis un auteur-compositeur-interprète. C’est important pour moi d’être créatif, de pouvoir m’exprimer.»

http://www2.canoe.com/divertissement/musique/nouvelles/2010/04/29/13764916-qmi.html
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