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Histoire francaise 11-01-2011 00:01 ê êîììåíòàðèÿì - ê ïîëíîé âåðñèè - ïîíðàâèëîñü!


Les langue créoles
En linguistique, un créole (creole en anglais, criollo en espagnol, crioulo en portugais) désigne un dialecte issu des transformations subies par un système linguistique utilisé de façon imparfaite comme moyen de communication par une communauté importante, ces transformations étant vraisemblablement influencées par les langues maternelles originelles des membres de la communauté. Ainsi, le français parlé par les esclaves noirs aux Antilles, en Guyane, en Louisiane et dans l’Océan Indien a donné respectivement naissance aux créoles antillais, louisianais et bourbonnais. Il existe également des créoles à base lexicale anglaise, portugaise et néerlandaise, pour les plus répandus
Le créole est une langue orale apparue au cours du XVIIe siècle lors de la colonisation de communautés isolées, et presque toujours insulaires, dans lesquelles existait un rapport de force très inégal entre une classe dominante et une classe dominée.
Dans sa quasi totalité, et quelle que soit le lieu de son apparition, le créole est basé sur les mots la langue de la classe dominante auxquels se sont ajoutés des emprunts aux langues des différentes ethnies colonisées.
Contrairement à une idée communément répandue, le créole n'est pas une déformation d'une langue, mais une variante régionale de cette langue. Durant près de trois siècles, le développement du créole s'est fait de manière autonome. Cela explique qu'il possède ses propres structures, qui le différencient parfois profondément de sa langue d'origine, le rendant incompréhensible à ceux qui parlent la langue dont il est issu.
Il existe plusieurs parlers créoles basés sur les différentes langues des anciennes puissances maritimes et coloniales :
sur l'espagnol, (Colombie et Curaçao)
sur le portugais (Cap-Vert, Casamance, Macao, Inde, Curaçao)
sur l'anglais (Jamaïque, Surinam, Sierra Leone)
sur le hollandais (Surinam)
et sur le français (archipel des Antilles, Guyane, Haïti, Maurice, Rodrigues, Seychelles et Réunion).
Dictionnaires XVIIe siècle
En 1635, l’Académie française est créée par Richelieu. Parmi ses projets linguistiques, il y a la création d’un dictionnaire. Il voit le jour en 1694, c’est-à-dire bien après le deux grands dictionnaires du XVIIe siècle : Furetière (1690) et Richelet (1680).
Au XVIIe siècle, les ouvrages lexicographiques sont :
Des dictionnaires bilingues ;
Des dictionnaires spécialisés (exemple : Le Grand Dictionnaire des précieuses…) ;
Et des grands dictionnaires unilingues du français :
Richelet, dictionnaire en 1680. Richelet collabore avec Patin (Richelet donne les définitions et Patin les exemples). Ce dictionnaire intègre le vocabulaire populaire.
Furetière, dictionnaire en 1690. Furetière est académicien. Son dictionnaire est une œuvre posthume. Le dictionnaire de Furetière contient des mots spécialisés (termes techniques : sciences et arts).
Dictionnaire de l’Académie française (1694) : débuté en 1638, il classe les mots par familles. Ce dictionnaire ne prend pas en compte la totalité du vocabulaire et ne cite pas tous les sens d’un mot. C’est un dictionnaire normatif qui prescrit un bon usage (refus des mots archaïques et bas, des néologismes, des mots d’arts et métiers, de sciences sauf termes techniques nobles (chasse, escrime, etc.)).

Le grammaire du Port Royal
Antoine Arnauld (1612-1694) est l'un des chefs de file du jansénisme, qui fut l' adversaire à la fois des Jésuites et des mouvements protestants. En France, ce courant dissident du catholicisme a son centre intellectuel à Port-Royal. Arnauld est l'auteur, avec Claude Lancelot, en 1660, d'une Grammaire générale et raisonnée et, en 1662, avec Pierre Nicole, de La Logique, ou l'Art de penser. Dans ces ouvrages, il suit une inspiration cartésienne, acquiesçant à l'idée d'une raison partagée sous-jacente à l'ensemble des langues. Articulant logique et grammaire, il détermine les oppositions cardinales de la « grammaire générale » autour de la définition du signe et de l'opposition nom/verbe.
Claude Lancelot (1616-1695), lui, a rejoint l'abbaye de Port-Royal en 1638. Il devient le collaborateur d'Arnauld – qui est le véritable inspirateur de la Grammaire générale et raisonnée – mais il a assumé seul la rédaction de plusieurs méthodes d'apprentissage du latin (164 […]

Le statut d’une langue internarionale.
Le français est devenu la seconde langue internationale après l'anglais. Linguistiquement parlant, le terme de francophone caractérise tout locuteur qui utilise le français comme langue maternelle. Mais la réalité est plus complexe. Il faut distinguer aussi les pays où le français est la langue officielle et même, selon une expression plus récente, ceux qui «ont en commun l'usage du français». Le français, rappelons-le, demeure la deuxième langue du monde sur le plan géopolitique avec 53 États dans 29 pays (contre 61 États et 53 pays pour l'anglais). Il constitue néanmoins, dans une cinquantaine de pays (52 États membres de la Francophonie), une langue administrative, d'enseignement, de la justice, des médias, du commerce ou des affaires et la langue de l'armée. Le statut juridique du français ne se limite pas aux pays où le français est langue officielle ou co-officielle, mais aussi à un certain nombre d'États non souverains.
En Europe, le français est l'unique langue officielle en France, dans la principauté de Monaco et au grand-duché du Luxembourg. Il est aussi l'unique langue officielle des cantons de Genève, Vaud, Neuchâtel et du Jura. En Afrique, il est la seule langue officielle au Bénin, au Burkina Faso, en République centrafricaine, au Congo-Brazzaville, en Côte d'Ivoire, au Gabon, en Guinée, au Mali, au Niger, à la Réunion, au Sénégal et au Togo. En Amérique, il conserve ce statut dans les départements français d'outre-mer (DOM): Martinique et Guadeloupe, Saint-Pierre-et-Miquelon, Guyane française. En Océanie, c'est dans les territoires français d'outre-mer (TOM) qu'il jouit de ce même statut: Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, les îles Wallis et Futuna.
Par ailleurs, le français est une langue co-officielle en Belgique (français-néerlandais-allemand), en Suisse (français-allemand-italien), au Canada (français-anglais), à Haïti (français-créole), au Burundi (français-kirundi), au Cameroun (français-anglais), aux Comores (français-arabe), au Congo-Kinshasa (français-anglais), à Djibouti (arabe-français), en Guinée équatoriale (espagnol-français), à Madagascar (malgache-français), en Mauritanie (arabe-français), au Rwanda (kinyarwanda-français-anglais), aux Seychelles (anglais-français-créole), au Tchad (arabe-français).
De plus, le statut juridique du français s'étend aussi à plusieurs États non souverains. Il est l'unique langue officielle dans la Communauté française de Belgique, dans la province de Québec, dans les cantons suisses de Genève, de Neuchâtel, du Jura et de Vaud. C'est une langue co-officielle dans les cantons de Fribourg (français-allemand), du Valais (français-allemand) et de Berne (français-allemand), dans la province du Nouveau-Brunswick (français-anglais) et les Territoires du Nord-Ouest au Canada (français-anglais), dans le Val-d'Aoste (français-italien) en Italie. Mentionnons enfin le territoire autonome de Pondichéry (tamoul et français; anglais, télougou et malayalam) en Inde.
Conformément à son statut de langue officielle, le français est utilisé, en totalité ou en partie, au Parlement, dans la rédaction des lois, dans les services gouvernementaux ou administratifs, dans les domaines de la justice, de l'éducation, dans la police et les forces armées, dans les médias, le commerce, le monde du travail, l'affichage, etc. Si on tient compte du fait que l'application du statut juridique varie d'un pays à l'autre ou d'une région à l'autre, il s'avère difficile de décrire celle-ci de façon concrète dans le cas du français. Comment savoir, par exemple, si l'affichage est aussi français en Côte d'Ivoire qu'en France, si les écoles francophones sont moins françaises au val d'Aoste qu'en Ontario, si les services municipaux en français sont mieux dispensés en Tunisie qu'en Alberta, etc

Appendix Probi
La genèse de ce « document de base pour l'étude du latin vulgaire » a été éclaircie par C. A. Robson, L'Appendix Probi et la philologie latine, dans Le Moyen Âge (1963), pp. 37-54.
Vers 700, des moines de Bobbio, fondation de S. Colomban en Émilie (Émilie Romagne, région de l'Italie du Nord), ont raturé un parchemin contenant des textes bibliques de la tradition ancienne, pour y copier un traité grammatical du pseudo-Probus en y ajoutant cinq appendices ; le troisième est la liste de corrections que l'on est convenu d'appeler Appendix Probi, et qu'il serait plus exact de nommer Appendix Bobbiensis. L'auteur de cette liste est un puriste, qui s'en prend aux formes considérées comme fautives ou vulgaires. Cependant, beaucoup de ces « fautes » figuraient dans des versions scripturaires (= relatives aux saintes écritures) anciennes. Les corrections ne sont pas toujours conformes aux règles classiques, beaucoup s'identifient avec des formes appartenant en propre à la latinité chrétienne d'Afrique ou visigothique. M. Robson a fait remonter environ un tiers des fautes relevées dans l'Appendix Probi à des gloses gréco-latines, surtout aux hermeneumata, petits glossaires groupés d'après le sens, ce qui lui a permis de restituer l'original vraisemblable de deux articles de l'Appendix Probi (n° 18 et 170) et de donner une nouvelle interprétation à d'autres. Donc le correcteur, « sans doute un de ces Scoli dont la curiosité et le souci littéraire font l'admiration des humanistes modernes » (p. 53), a dû connaître les glossaires gréco-latins en question, ainsi que la bonne tradition biblique et patristique cultivée en dehors de l'Italie. Du même coup, la date de l'Appendix Probi, qui a passé pour un traité des IIIème-IVème siècles, sera avancée « aux siècles chrétiens, sous les Lombards », donc après 568.

Langues italo-romanes
Les langues italo-romanes constituent un sous-ensemble des langues romanes, dont le représentant le plus connu est l'italien littéraire, mais qui comporte un grand nombre de dialectes (plus de deux cents). On distingue en son sein deux groupes clairement différenciés, séparés par un grand faisceau d'isoglosses, la ligne Massa-Senigallia (dite de manière moins exacte "ligne La Spezia-Rimini"), qui correspond à la coupure des langues romanes en deux grands groupes: la Romania occidentale (incluant l'italien septentrional) et la Romania orientale (incluant l'italien centro-méridional et de l'extrême-sud)5.
Italien septentrional (ou plus récemment padan, terme proposé par le linguiste Geoffrey Hull depuis 1982, parfois nord-italien), groupe de dialectes parlés dans le nord de l'Italie, intermédiaires entre l'italo-roman et le gallo-roman (à l'instar du rhéto-roman):
Sous-groupe gallo-italique, avec un substrat celtique (lombard (lumbaart), ligure (lìgure) avec sa variante intémélienne, piémontais (piemontèis), l'émilien-romagnol. Le piémontais s'est doté d'une variété standard.
Sous-groupe vénitien (vèneto).
Le dialecte istriote, parlé sur la côte sud de l'Istrie (Croatie), est très difficile à classer; on le considère soit comme un type particulier de vénitien, soit comme un dialecte distinct du vénitien, soit encore comme un idiome intermédiaire entre le vénitien et le dalmate.

Les langues gallo-romanes
Les langues gallo-romanes (ou le gallo-roman) sont une catégorie de la classification traditionnelle des langues romanes. Stricto sensu, il s'agit des langues dérivées du latin populaire, après plusieurs siècles d'évolutions sémantiques, de mutations phonétiques et lexicales, dans un cadre géographique qui comprend la majeure partie du territoire appelé autrefois Gaule, et qui correspond à peu près à la France contemporaine, à l'exclusion notamment de la Corse, du Pays basque français, la partie ouest de la Bretagne et des territoires situés aux abords de la vallée rhénane.
Ainsi, selon la conception la plus simple, le gallo-roman comprend le français ou langue d'oïl, l'occitan ou langue d'oc et le francoprovençal. Ces trois zones linguistiques correspondent en fait aux territoires dont la toponymie révèle des particularismes phonétiques et lexicaux singuliers au sein de la Romania, pour simplifier aux noms dits « à consonance française ou francisée », même si ces termes apparaîssent assez impropres (se rapportant plutôt aux dialectes d'oïl).
Dans une classification plus nuancée, décrite initialement par le linguiste Pierre Bec, les langues gallo-romanes comprennent un sous-groupe strictement gallo-roman et des sous-groupes de transition

Les langues ibero-romanes :
L'ibéro-roman est une famille incluant l'essentiel des langues romanes d'Espagne et du Portugal ; à savoir :
le castillan
l'asturien (ou bable)
le léonais
le mirandais
le galicien
le portugais
le fala
Si l'aragonais (ou fabla), géolecte transitionnel employé entre Castille et Catalogne y est inclus, la plupart des linguistes considèrent aujourd'hui les parlers de la Généralité, du Pays Valencien et des Baléares comme faisant partie d'un groupe occitano-catalan de langues occitano-romanes comprenant le catalan et l'occitan.
Le judéo-espagnol et, souvent, les créoles issus de l'espagnol et du portugais sont estimés faire partie de ce groupe.
Les langues daco-romanes :
Cette assertion est en effet assez juste. Le daco-roman,
quoique moins riche que les plus jeunes langues de TOccident,
ou rflement romain a eu plus de temps de prendre racine, pos-
sede cependant plus de mots classiques de Tâge d' Auguste que
ces dernieres, et un grand nombre de ses vocables ont garde
leur acception latine, qu'ils ont souvent completement changee
dans ces idiomes.

Toutefois, le daco-roman est rest^ a pen pres inconnu au
grand public, comme langue romane, parlee par huit millions
d'hommes. Nous attribuons ce fait â deux causes principales :
la premiere est la position geographique du pays â Textremit^
orientale de I'Europe, isole de toute communication avec les
autres nations romanes; la seconde, non moins importante, est
Tusage seculaire, abandonul seuloment depuis huit a dix annees,
d'ecrire la langue avec des caracteres cyrilliens. Cette derniere
circonstance surtout a meme produit la grande erreur de faire
des Daco-Eomans un peuple d'extraction slave.

C'est le celebre philologue, professeur Diez, de Bonn, qui a
expose le premier, dans sa Grammaire des langues romanes ^),
d'une maniere scientifique et methodique, les lois qui regissent
la formation des langues romanes, et c'est done a lui que nous
avons a rendre tout hommage. Mais, a notre grand regret, ce
savant ne s'est occup^ dans son dictionnaire ^tymologique ^) que



Le Haut Moyen-Age (VIIIe - XIe siècle)

La renaissance carolingienne se caractérise par le retour à l'idéal impérial. La culture est mise au service du pouvoir politique (écoles, sciences, études et poésie latines).
En 842, le premier texte écrit (et conservé!) en "français", Les Serments de Strasbourg, illustre la rivalité entre les héritiers du fils de Charlemagne.
Par la suite l'empire carolingien se disloque, abbayes et bibliothèques sont ravagées ou abandonnées.
Le désordre anarchique des invasions normandes finit par susciter la féodalité où le pouvoir royal, très affaibli, s'appuie sur des doctrines religieuses (sacre du roi). La conception du découpage de la société en trois ordres s'établit : guerriers, ecclésiastiques, travailleurs. L'Église catholique joue un rôle important: limitation des guerres; progrès économiques (Cluny); échanges culturels (pèlerinages); architecture romane.
Dialectes
Non seulement les étrangers qui étudient le polonais, mais même certains Polonais ont des difficultés avec l’orthographe. La grammaire et la ponctuation polonaises ont beaucoup de règles et deux fois plus d’exceptions, ce qui vaut au polonais la réputation de l’une des langues les plus difficiles au monde. La langue polonaise comprend cinq dialectes populaires principaux : les dialectes de Silésie, de Petite Pologne, de Mazovie, de Grande Pologne et de Cachoubie, qui sont un écho lointain des anciens dialectes de tribus slaves, et un certain nombre de patois avec leurs vocabulaire, leur phonétique et leur morphologie spécifiques. Certains dialectes, tel le cachoube, sont considérés comme des langues à part entière. Le polonais comporte un certains nombre d’emprunts à des langues étrangères, qui font désormais partie de sa structure ; on y trouve de très nombreux anglicismes, des gallicismes, des germanismes, des latinismes et des russismes.

Ancien français : état de la langue du IXe au XVIe siècle.
 

 

Accent
l'accent
2 types d'accent en français
:: l'accent rythmique
:: l'accent emphatique

l'accent rythmique
:: le group rythmique, la dernière voyelle du GR
:: parfois le GR est assez lourd
:: dans ce cas là les composants peuvent avoir des accents secondaires qu'ils ont moins d'importance
:: si le GR a plus de 3 syllabes, il a des accents secondaires
:: dans l'accent moins ils sont forts
:: les accent secondaires de la fin du groupe rythmique
:: il faut subdiviser les accents secondaires

l'accent emphatique
:: un relevé (mettre en relief) de certaines mots
:: si l'accent rythmique est réglé par les lois, l'accent emphatique reflète ce que l'occupé avait à dire personnellement
:: est capable de rendre notre discours plus expressif
:: à la différence de langue russe, en français l'accent emphatique est consonantique
:: consiste de redoublement de la consonne
règles
:: l'accent emphatique frappe la première consonne (la consonne initiale), faire le discours devenir plus expressif
:: plus souvent - consonne initiale ou si le mot commence par le voyelle l'accent frappe
:: peut grâce aux liaisons frapper les consonnes muettes
Ex. c'est epatant /on frappe/ ; c'est inutile
> consonne P - difficile à élonger
> consonne T - consonne

Dialectes
Les dialectes du Nord
(normandes, Belgique)
Le français régionale - le fr nationale qui a assimilé quelques particularités dialectaux.
:: le systhème phonétique, le vocabulaire
L'accent provincial (phonétique du Midi)
:: le tendre est le plus elevé, la pronunciation est plus chantante
:: l'absence de nasalisation (existe en français national)
:: particulation grammaticales - traits archaiques
:: l'emploi du passé simple au langue parlé
Le vocabulaire
:: des mots particuliers
:: le fr régional influence le fr national
:: les mots d'emploi usuel - bagarre
:: fr du Nord a donné beaucoup des mots liés à la peche, poisson (bateau, bord)
:: fr du Nord et l'Est >> les mots liés à l'industrie
:: le français Extragonais (Valony, Bruxelle,Suisse, Canada) >> variations du fr sont toujours frappés par la divergence de la lexique
:: certains régionalismes présentent des choses qui n'ont pas des nominations en fr central
ex - Legumie (Belgisme) - marchant des légumes
Les dialectes sociaux
:: utilisés par les représentants des groupes sociaux
:: poccèdent une certaine indépendence, propre vocabulaire, particularités au niveau phonétique et grammatical
Le jargon
:: but de servir un groupe social, peut etre classé parmi les langues codés
:: a principalement des fonctions économiques et identitaires.
Argot
:: le jargon déclassé
:: a apparu vers la fin du Moyen Age, lais développé au 17 siècle au centre du Paris quartier "La cour du Miracle"
:: c'était la langue secrete
:: utilise la dérivation impropre telle que la conversion et la composition
ex - Argent : artiche, as, aspine, aubert, avoine, balles, beurre
Femme : belette, bombe, bourgeoise, frangine, gadji, gerce
Policier : archer, bignolon, bourdille, cogne, condé, flic
1) ajoute les suffixes qui changent le sens
ex : cinoche - cinéma; chicau - chic; calmar - calme ; parigate - parisien
2) a beaucoup entreprené d'aoutres langues
3) beaucoup de synonimes absoluts - qui ont le meme sens
4) a penetré dans la langue familière - employé par les représentants de tout les couches et média

Le Verlan
>>Le verlan est une forme d'argot français qui consiste en l'inversion des syllabes d'un mot, parfois accompagnée d'« élision », un type d'apocope, afin d'éviter certaines impossibilités phonologiques
>>C'est en inversant les syllabes de la locution adverbiale à l'envers que le terme de verlan a été créé.
>>Initialement utilisé comme langage cryptique dans les milieux ouvriers et immigrés de la banlieue parisienne, il s'est rapidement répandu à toutes les classes de population, notamment grâce à son usage au cinéma et en musique
La formation d'un mot en verlan est essentiellement phonétique. Le verlan étant une langue orale, on peut trouver de nombreuse exceptions. Néanmoins, la grande majorité des formations se décompose en quatre opérations :
>>Ajout ou suppression de la dernière voyelle
>>Découpage du mot.
>>Inversion.
>>Troncature ou élision de la dernière syllabe du néologisme formé.
Seule la troisième opération (inversion) est présente dans tous les mots de verlan. Elle est caractéristique de cet argot
Herbe - Herbeuh - Her-beuh - Beuh-er - Beuh
Bizarre - Bi-zar - Zar-bi
cigarette - ci-garette - garette-ci - garo
arabe - arabeuh - ara-beuh - beuh-ara - beur
 

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