О тебе...
Allez, vas-y.
Fais chier avec tes conneries.
Allez. Gâche tout.
Tu sais comment ca se fait...
N’arrete pas ca. Tu es tres doue pour faire des betises.
Allez! continue!
Regarde moi mille fois et baisse les yeux mille fois.
***
Je ne t’ai pas supplie avant. Je te supplie maintenant. Je te supplierai.
Laisse-moi entrer dans ton monde. Dans ton ame.
Laisee-moi entrer et voir ce desordre. Laisse-moi sourir en voyant ce bric-a-brac.
Laisse-moi allumer toutes les lampes, toutes les etoils…
Laisse-moi m’asseoir a cote… laisse-moi etre une petite, une minuscule partie de toi, ta vie quotidienne, de tes pensées, de tes chagrins, de tes joies…de toi!
***
Parfois tu es trop loin avec tes “cafard”.
Parfois tu es trop proche.
Parfois j'ai envie de toucher tes cheveux par hazard comme si j’etais aveugle.
Parfois j’ai envie de te regarder aux yeux et voir un reflet de tes sentiments, de tes envies, desires, peurs, amours que tu taches de cacher. En vain.
Parfois j’ai envie de prendre ta main et la serrer de tous mes forces que j’ai… Tu vois j’ai besoin de toi.
Je te supplie de lire un jour mes pensées. Mes maudits pensées.
***
Toutes ces années tu etais tout pres, mais j’etais aveugle.
Toutes ces années tu me parlais, mais j’etais sourde.
Toutes ces années tu me posais des questions, mais j’etais muette.
Suis-je bete?
Surement!
***
Tu me laisse m’asseoir a cote de toi.
Tu souris.
Tu parles, parles, parles avec tes amis…bla-bla-bla
Tu m’oublies.
Je te souris.
Après je ne suis pas seule a cote de toi.
Y a mes amies.
Je parle, parle, parle…bla-bla-bla
Tu te tais. Tu ne souris plus.
Après, une silence. Et ma tasse de the degeulasse. Et sucre.
Je le deteste.
Mais…c’est le prêtexte d’etre a cote de toi.
C'est le prêtexte d’ecouter ton délire, tes histories, tes gros mots, ta silence.
Et c’est un seul moment quand la silence me fait plaisir.
Quand la silence ne me tue pas.
Dieu merci, c’est toi… a cote. En silence!
***
Ca me fait chier tes regards!
Qu’est-ce qu’ils disent, tes yeux?!
Ils racontent rien…
Ou bien tout.
Mais tu sais, mon petit gars, je suis trop bete, nulle, sentimentalle, chiente et conne (des fois) pour saisir cette file de tes pensées, ce gros sense…
Je comprends pas.
Soit je suis trop paresseuse pour comprendre.
Soit je suis trop amoureuse de toi.
Et de tes regards …quand meme.
Merde!